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Écoute, cher contributeur, toi qui hésites à sortir la CB pour soutenir mon sanctuaire numérique, laisse-moi te peindre le tableau. Le monde dehors, c’est une escroquerie cosmique. Tu veux claquer 60 € pour un resto à deux où on te sert du surgelé METRO réchauffé par un cuistot qui a oublié ce qu’est la dignité ? Vas-y, savoure ton filet de colin décongelé pendant que Madame te fait comprendre qu’elle est là pour le pigeon, pas pour la passion. Moi, je te propose mieux : pour le prix d’un café Starbucks, tu finances un espace où je décortique Final Fantasy X avec la ferveur d’un moine copiste et la mauvaise foi d’un chroniqueur de bistrot.
Et parlons d’OnlyFans, tiens. Tu payes 15 € par mois pour qu’une influenceuse te fasse un clin d’œil virtuel pendant que son Chad la besogne hors champ ? Résultat ? T’es ruiné, t’as rien appris, et t’as juste nourri l’ego d’une meuf qui te méprise. Avec L’Onaniste Vidéoludique, ton argent va dans du concret : des chroniques ciselées comme des haïkus, des analyses de jeux obscurs qui te feront redécouvrir ta PS2, et un gros doigt d’honneur à Yann Moix, ce snob qui pense que les pixels sont l’ennemi de la littérature. Moi, je te dis qu’un bon JRPG, c’est du Proust avec des chocobos.
Et Netflix ? Pff, une usine à wokisme qui te balance des séries où le méchant est toujours un mec blanc hétéro et où le scénario semble écrit par une féministe aux cheveux courts et bleus. Moi, je te propose des récits authentiques, écrits avec des tripes et un clavier usé, où je te raconte pourquoi Shadow of the Colossus m’a fait chialer dans un futon à 3h du mat’. Pas de cancel culture ici, juste un mec qui aime les jeux vidéo comme on aime une maîtresse exigeante : en secret, avec passion, et sans partager.
Pourquoi j’ai besoin de ton fric ? Parce que France Travail me fait suerOn va pas se mentir, la vie, c’est pas un JRPG où tu peux grinder des XP pour échapper à tes problèmes. France Travail, c’est ma Némésis personnelle, avec une conseillère qui, soyons honnêtes, doit compenser une vie amoureuse en DLC payant par un zèle bureaucratique à faire trembler un boss de Dark Souls. Ma vie c’est celle d’un mec qui essaie de survivre dans un monde où France Travail a décidé que le Français de souche, c’est open bar pour le harcèlement administratif. Pendant ce temps, les « chances pour la France » – tu sais, cette expression qu’on prête à Bernard Stasi ou Alain Juppé, recyclée avec amour par les poètes du forum JVC pour parler des racailles qui font des drifts en BMW sur le parking de ton Leclerc – eux, ils vivent leur meilleure vie. Pas de conseillère revêche pour leur casser les burnes, pas de menace de radiation parce qu’ils ont oublié de pointer à 8h03. Non, eux, ils sont tranquilles, pendant que moi, je dois jongler entre ma passion pour Xenogears et les convocations de ma conseillère, une Cerbère en tailleur Zara qui compense ses frustrations en me faisant suer.
Alors pourquoi ton fric ? Parce que ce blog, L’Onaniste Vidéoludique, c’est ma barricade. Mon donjon secret. Mon moyen de dire merde au système qui veut me remettre dans un open space à trier des tableurs Excel inutiles (encore un pléonasme) pendant que d’autres se la coulent douce. Pour quelques euros, tu finances pas juste un blog : tu finances une révolte esthétique.
Si je retourne bosser à temps plein pour échapper à son harcèlement, adieu le blog, adieu les chroniques sur Vagrant Story ou ce point & click finlandais où tu joues un phare dépressif. Ton financement, c’est ma potion de mana : ça me donne du temps pour écrire, pour explorer des mondes numériques, et pour te livrer des textes qui sentent le vécu, pas le communiqué de presse.
Et puis, soyons sérieux, le maté, c’est pas donné. J’ai privilégié cette herbe sud-américaine (pour ses effets vraiment efficaces contrairement au café) qui coûte plus cher qu’un skin de Genshin Impact. Si je veux continuer à siroter mon maté tout en disséquant la direction artistique de Persona 3, j’ai besoin de toi. Pas pour me payer un yacht, mais pour garder ma liberté de joueur solitaire, loin des open spaces et des réunions TEAMS où on te vend du vent.
Et surtout, surtout pour continuer à troller les employeurs avec mon CV sur lequel figure la citation suivante : « Le plaisir d’un vrai vendeur, c’est de vendre à des gens qui n’ont absolument pas besoin de ce qu’on leur propose,ou qui n’ont pas de quoi se le payer. Quand ces deux cas sont réunis, alors c’est là que le sport commence !" – Jean-Pierre Marielle »
- Du contenu qui claque : Un test par semaine, minimum, sur des jeux terminés, pas survolés comme un stagiaire de Jeux Vidéo Magazine. JRPG, point & click, pépites oubliées, ou même des digressions sur un manga ou un film qui m’a retourné la tête.
- Du style, bordel : Pas de prose fade de rédacteur sous-payé. Mes textes, c’est du velours et du vitriol, des phrases qui dansent comme un boss de Kingdom Hearts et qui piquent comme une critique de ta dernière partie de Sekiro.
- Une communauté d’ermites : Ce blog, c’est pour les joueurs qui, comme toi, préfèrent se perdre dans un donjon plutôt que dans une conversation Tinder. On est des esthètes, des mélancoliques, des poètes du game over.
- Un pied de nez à la culture mainstream : En soutenant ce blog, tu dis merde à Yann Moix, à la presse vidéoludique qui recycle des previews d’Ubisoft, et à tous ceux qui pensent que jouer, c’est pour les ados ou les losers. On va leur montrer qu’on peut aimer Chrono Trigger et Stendhal, et qu’on le fait avec panache.
Pas besoin de vendre un rein. Quelques euros par mois, c’est assez pour que je puisse continuer à écrire, à boire du maté, et à esquiver les griffes de France Travail. Va sur 4fund.com, cherche L’Onaniste Vidéoludique, et fais un geste pour la cause des joueurs solitaires. Parce qu’honnêtement, qu’est-ce qui vaut plus : un resto où tu payes pour du poisson pané, ou un blog qui te rappelle pourquoi tu as pleuré à la fin de Final Fantasy IX ?
Allez, rejoins-moi dans l’ombre. On va jouer seuls, mais ensemble.
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